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Sécession ? 4 : Sortir de la gangue jacobine
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Sécession ? 4 : Sortir de la gangue jacobine

Malgré les fortes différences entre nos deux pays, on voit se dégager deux situations finalement proches sur le fond.

nov. 10, 2020
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Sécession ? 4 : Sortir de la gangue jacobine
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Après Jeff Deist

Nos derniers articles vous ont proposé une traduction en trois étapes d’un discours par le Président du Mises Institute qui nous a semblé doublement intéressant, tout d’abord pour éclairer la situation politique américaine au moment de l’élection du "POTUS", et ensuite pour tenter de discerner les analogies possibles avec ce qui se passe en France. L’objet de ce dernier texte est précisément de développer cette analogie pour ouvrir à de possibles perspectives de liberté.

La première partie du discours introduit le concept "d’imposeurs" contre opprimés (en anglais, imposers vs imposed upon). Les imposeurs sont tous ceux qui ont réussi à se faire passer pour des victimes alors qu’en réalité ils ont réussi à faire imposer aux "opprimés" des politiques qui leur sont favorables, retournant ainsi la fausse dualité victimaires qui leur sert d’argument. On aura reconnu les multiples courant de la gauche égalitariste, bien sûr.

Bien sûr, les Etats-Unis et la France ne sont pas identiques et les mouvances de la gauche y ont chacune leurs particularités. Mais on peut néanmoins trouver assez de similitudes pour que probablement tienne ici aussi la vision, le diagnostic posé par Jeff Deist quant à son paradoxe des Imposeurs contre les Opprimés.

Là où il y a de la haine...

Quelques pistes suffiront. Le post-modernisme des Democrats prend largement ses racines théoriques chez la gauche française issue de Mai 68. Notre presse comme la leur est dans son immense majorité d’un anti-capitalisme primaire caricatural ; elle se fait le porte-voix de l’appareil d’état et s’affiche pro-Biden au mépris du plus élémentaire principe d’objectivité informationnelle. La "haine" et ses supposées "victimes" ont pignon sur rue, personnifiées par Laeticia Avia et ses lois successives (qui sont autant d’échecs). Enfin, cette gauche pourtant tant supposée protéger les faibles et se mobiliser contre la discrimination reste parfaitement silencieuse depuis le début du confinement, comme si la crise phénoménale qui est en train d’en résulter faisait bien ses affaires.

Le post-modernisme de la France...

Cris terre

Ces quelques éléments nous convainquent que la France est hélas tout aussi gangrénée par les Imposeurs faussement opprimés que ceux d’outre-Atlantique venant de crier victoire lors du vote du 3 novembre.

Peut-on prolonger l’analogie plus loin ?

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