"Ce qui constitue une menace, un >>risque<< >>pour quelqu'un<<, quelque chose : Ce krach constitue un danger pour l’économie mondiale ; situation où l'on se sent menacé : Courir un danger."
Mais ce que vous ne semblez pas voir, entre autres, c'est que les définitions des professionnels ne s'appliquent PAS au monde des gens normaux, aux quidams.
Il faut revenir au Larousse, pour eux. Et à leur réalité, où le risque est celui de chacun.
"Bien évidemment, il est illusoire (et dangereux) de croire que tout individu a les capacités d'évaluation continue des risques"
Cela n'a absolument aucune espèce d'importance. Tout individu est en situation et a le droit d'évaluer ses risques comme il l'entend. Les risques sont affaires individuelles, uniquement.
Comme d'habitude, vous raisonnez en utilitariste là où la Liberté est n'affaire que de droit.
"Tout individu est en situation d'évaluer ses risques"
Le mot important, c'est **situation**. Cette situation est **subjective**, vous voudriez qu'elle soit **objective** et c'est en cela que vous êtes un utilitariste.
"Non puisqu'il n'a pas (toujours) accès à l'ensemble des éléments influant sur ses risques. Son évaluation se fait parfois au pif, pile ou face dans sa tête. J'appelle pas ça une évaluation..."
Mais peu importe que vous l'appeliez ceci ou cela, cela ne change rien à la réalité.
L'expérience date au moins de 1983 et son auteur Benjamin Libet admet qu'elle ne démontre absolument rien sur l'absence de libre arbitre.
Analyser une proposition, analyser des faits (objectifs par définition), argumenter, manier la logique, départager le vrai du faux - l'activité scientifique et philosophique au grand complet repose implicitement sur le libre arbitre et l'objectivité.
C'est la plus grotesque des contradictions que de suggérer que le libre-arbitre est une illusion. Démontrer que X n'existe pas en présupposant que X existe ? Si oui, j'ai aussi un seau d'eau sèche à vous vendre.
D'un autre côté en lisant vos tentatives d'arguments standardisés, il n'est pas impossible que vous soyez en fait un automate programmable, vous semblez ne pas passer le test de Turing. Et là toutes vos réponses prennent sens. Quel modèle ?
La Liberté est un risque permanent, il faut savoir anticiper au mieux, voire même les aléas ! Spécialiste des "Black Swan" niveau stratégie militaire, la gestion des aléas des plus complexes est source d'une résolution pour un monde Libre ! Rien d'évident, confidentielle, étatique car sert l'État avant tout contre toute forme de catastrophe militaire comme civil. Cependant prétend servir l'individu en priorité !
Définition de "danger" du Larousse :
"Ce qui constitue une menace, un >>risque<< >>pour quelqu'un<<, quelque chose : Ce krach constitue un danger pour l’économie mondiale ; situation où l'on se sent menacé : Courir un danger."
=> https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/danger/21607
"Je n'essaie pas de vous entourlouper, ce sont juste les définitions utilisées par tous les professionnels de la sécurité dans le monde."
Ca tombe bien, ça fait 30 ans que je suis un de ces professionnels.
=> https://stephanegeyres.wordpress.com/
Mais ce que vous ne semblez pas voir, entre autres, c'est que les définitions des professionnels ne s'appliquent PAS au monde des gens normaux, aux quidams.
Il faut revenir au Larousse, pour eux. Et à leur réalité, où le risque est celui de chacun.
"Bien évidemment, il est illusoire (et dangereux) de croire que tout individu a les capacités d'évaluation continue des risques"
Cela n'a absolument aucune espèce d'importance. Tout individu est en situation et a le droit d'évaluer ses risques comme il l'entend. Les risques sont affaires individuelles, uniquement.
Comme d'habitude, vous raisonnez en utilitariste là où la Liberté est n'affaire que de droit.
"Tout individu est en situation d'évaluer ses risques"
Le mot important, c'est **situation**. Cette situation est **subjective**, vous voudriez qu'elle soit **objective** et c'est en cela que vous êtes un utilitariste.
"Non puisqu'il n'a pas (toujours) accès à l'ensemble des éléments influant sur ses risques. Son évaluation se fait parfois au pif, pile ou face dans sa tête. J'appelle pas ça une évaluation..."
Mais peu importe que vous l'appeliez ceci ou cela, cela ne change rien à la réalité.
L'expérience date au moins de 1983 et son auteur Benjamin Libet admet qu'elle ne démontre absolument rien sur l'absence de libre arbitre.
Analyser une proposition, analyser des faits (objectifs par définition), argumenter, manier la logique, départager le vrai du faux - l'activité scientifique et philosophique au grand complet repose implicitement sur le libre arbitre et l'objectivité.
C'est la plus grotesque des contradictions que de suggérer que le libre-arbitre est une illusion. Démontrer que X n'existe pas en présupposant que X existe ? Si oui, j'ai aussi un seau d'eau sèche à vous vendre.
D'un autre côté en lisant vos tentatives d'arguments standardisés, il n'est pas impossible que vous soyez en fait un automate programmable, vous semblez ne pas passer le test de Turing. Et là toutes vos réponses prennent sens. Quel modèle ?
La Liberté est un risque permanent, il faut savoir anticiper au mieux, voire même les aléas ! Spécialiste des "Black Swan" niveau stratégie militaire, la gestion des aléas des plus complexes est source d'une résolution pour un monde Libre ! Rien d'évident, confidentielle, étatique car sert l'État avant tout contre toute forme de catastrophe militaire comme civil. Cependant prétend servir l'individu en priorité !