Une philosophie décentralisée et le principe de non-agression : des fondations incompatibles avec l’extrême droite
Libéralie : Au-delà des étiquettes, embrasse la Liberté, pas la guerre
En Libéralie, la philosophie est fondamentalement décentralisée. Elle repose sur l’idée que le pouvoir ne doit jamais être concentré dans les mains d’une autorité ou d’un groupe restreint, mais doit être dispersé au niveau de chaque individu. Chaque personne est libre de diriger sa vie selon ses propres choix, sans qu’une structure imposante ou un État viennent dicter ses décisions. C’est une vision qui rejette catégoriquement tout système où une élite ou un gouvernement impose sa volonté au nom du « bien commun ». La souveraineté individuelle se trouve ainsi au cœur de cette philosophie.
Le principe de non-agression : la règle d’or
Ce qui soutient cette philosophie, c’est le principe de non-agression. Simple et radical, il stipule qu’aucune personne n’a le droit d’utiliser la force, la coercition ou la fraude contre autrui. Concrètement, cela signifie :
Pas de violence initiée contre autrui.
Pas de vol ni de manipulation pour exploiter les autres.
Pas de contrainte pour imposer quoi que ce soit à quiconque.
Ce principe permet à chacun de se défendre en cas d’agression, mais interdit toute forme d’agression volontaire. C’est une limite éthique essentielle qui permet à chacun d’exercer sa liberté de manière pleine et entière, sans empiéter sur les droits des autres. Sans ce principe, on tomberait dans la loi du plus fort, ce qui va à l’encontre de l’idéal libéral.
Pourquoi cela n’a rien à voir avec l’extrême droite ?
L’extrême droite, de son côté, est souvent l’antithèse de cette philosophie. Elle repose sur des hiérarchies rigides, un pouvoir centralisé et des règles imposées à tous, souvent au nom d’une nation, d’une identité ou d’une tradition. La philosophie de Libéralie rejette résolument ces idées :
Décentralisation contre centralisation : L’extrême droite prône un État fort qui impose son contrôle à tous les niveaux, tandis qu’ici, chacun est libre de gérer sa vie sans l’imposition d’un chef.
Liberté contre autorité : L’extrême droite exige l’obéissance à des autorités centralisées et à un ordre strict, tandis que cette philosophie défend la liberté individuelle, sans compromis.
Respect universel contre exclusion : L’extrême droite divise, exclut, et marginalise des groupes tels que les étrangers ou les minorités ; en revanche, le principe de non-agression s’applique de manière universelle, sans distinction de race, de culture ou de statut.
Imaginons un régime d’extrême droite qui emprisonne des citoyens pour maintenir un ordre imposé par la force. Le principe de non-agression répondrait clairement : "Non, c’est une agression, tu n’as pas le droit de violer leurs droits !" La différence entre les deux philosophies est radicale.
Une vision qui unit, pas qui divise
En somme, cette philosophie décentralisée cherche à créer un espace où chacun peut vivre selon ses propres choix, tant qu’il ne nuit pas aux autres. Ce n’est pas un espace de soumission ou de contrôle, mais un espace de liberté et de responsabilité. Là où l’extrême droite cherche à imposer une autorité stricte, cette philosophie permet à chacun de s’épanouir en respectant la liberté des autres.
Prendre position en faveur d’une politique autoritaire et centralisée n’est pas compatible avec la philosophie de Libéralie, qui repose sur des principes hautement humanistes et créatifs. En effet, une philosophie décentralisée offre une véritable espace de liberté, où la souveraineté de chaque individu est respectée.
Cette philosophie est construite sur une idée simple : la liberté individuelle s’épanouit dans un environnement décentralisé, loin des structures oppressives et rigides. Elle laisse à chacun le pouvoir de guider sa propre vie, sans qu'une autorité centrale n’impose des règles coercitives. Le terme "espace" ici met en lumière l’ouverture, l’absence de contraintes, et le respect mutuel où chaque individu est souverain.
Le principe de non-agression dans ce contexte
Dans cet espace, le principe de non-agression prend tout son sens : personne ne peut user de force ou de coercition contre autrui. Cela crée un environnement où la liberté individuelle coexiste harmonieusement avec le respect des droits des autres, loin des hiérarchies et des systèmes autoritaires. Contrairement aux idéologies centralisatrices telles que l’extrême droite, le communisme ou le socialisme avec un État fort, ici, l’individu est le cœur battant de la société, libre de ses choix, tant qu’il ne nuit pas à autrui.
En résumé
Cette philosophie décentralisée, loin de diviser, crée un terrain fertile à la coexistence pacifique et au respect mutuel, où la souveraineté de chaque individu est préservée. Elle repose sur l’autonomie, où chacun est responsable de sa propre vie tout en respectant la liberté des autres.
Les partisans de l'État, en revanche, ne sont pas cohérents lorsqu’ils proclament que la liberté est une idéologie d'extrême droite ou lorsqu'ils veulent imposer un État fort. En réalité, la liberté véritable ne repose pas sur un pouvoir centralisé qui impose ses règles, mais sur l’autonomie individuelle et la non-agression, principes incompatibles avec tout système autoritaire ou coercitif. De même, des outils comme le vote ou la démocratie, qui prétendent représenter la volonté générale, ne peuvent pas être acceptés en Libéralie. Ces mécanismes, loin d’être un exercice de liberté, sont des instruments de coercition qui imposent des décisions prises par une majorité à la minorité. En Libéralie, chaque individu doit pouvoir vivre selon ses propres choix sans être soumis à l’autorité d’une quelconque majorité ou d’un État centralisé.
Qu’attendez-vous pour faire sécession ?
Artid