Qui est un démocrate est un communiste…
Jamais le démocrate ne critique le droit de la «légalité» à saisir sa propriété.
«La démocratie n’a rien à voir avec la liberté. La démocratie est une variante molle du communisme, et dans l’histoire des idées on l’a rarement considérée autrement.» – Hans-Hermann Hoppe
Il est de bon ton à notre époque de se dire, de s’afficher démocrate. Quiconque oserait contester l’idée démocratique est aussitôt mis à part, rangé chez les dictateurs ou tyrans en puissance. Pourtant, il se pourrait bien que les dictateurs ne soient pas là où on les attend. Car la démocratie, celle des régimes en place, impose ses lois même à ceux ayant voté contre. Lois imposées car inacceptables sinon, du fait de la propriété privée saisie par leur force. Or, saisir la propriété privée au profit du «public», n’est-ce pas le projet communiste ?
Pour le libéral classique, critiquer la démocratie tient du blasphème car elle est l’instrument de l’alternance équilibrée des majorités. Il y voit la Liberté d’expression comme base durable de notre Liberté. Il ne sera pas rare de l’entendre se plaindre de la multiplication des impôts et taxes ou de la bureaucratie galopante. Jamais ou presque il ne critiquera pourtant ce droit de la légalité à saisir sa propriété.
«La démocratie finalement, c’est la pire des dictatures parce que c’est la dictature du plus grand nombre – quand on connaît le plus grand nombre, on n’a pas envie de le laisser voter.» – P. Desproges
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