Pas de problème social sans l’état pour cause…
Par exemple : Sans état pour interdire les emplois au prix du marché, aucun chômage.
« Quand j’entends quelqu’un parler de "solutions politiques", je sais que je n’ai pas affaire à quelqu’un de sérieux. » – George Carlin
La vie politique est une longue liste de situations où les politiciens se plaisent à exhiber des « problèmes sociaux » terribles pour venir nous en sauver. Avez-vous remarqué que plus l’état intervient, plus il grossit et s’étend, plus les problèmes sociaux perdurent ? Belle solution vraiment. Prenez le chômage : sans état pour interdire les emplois au prix du marché, aucun chômage. Il en est ainsi de tout.
Mais au fait, qu’est-ce donc qu’un « problème social » ? Peut-on les définir ou les caractériser avec objectivité ? On s’aperçoit vite que ces questions ne surgissent qu’une fois dans la bouche du politique. Il peut tenir des discussions de comptoir à propos de ceci ou cela, mais le quidam retournera à ses affaires aussitôt, sans plus de bruit.
Surtout, ce faisant, chaque quidam parmi nous contribue à réduire ses propres difficultés sociales et désagréments par ses actions. De proche en proche, les autres en faisant autant pour eux, les pistes de solutions, puis les solutions, s’échangent et se mettent en place. Ainsi, aucun « problème social » en Libéralie, les équilibres se font et se défont au gré de ce que chaque homme libre aura amélioré.
« Qu’est-ce donc que l’État régulateur, sinon la domination des pouvoirs établis, et le frein à l’émergence de concurrents ? Qu’est-ce donc que l’État fournisseur, sinon précisément le monopole ? Cette « solution » est précisément le pire possible de tous les maux qu’on prétend écarter. » – François-René Rideau
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