Ni milliardaires, ni pauvres
En Libéralie, il n'y a ni pauvres ni milliardaires, mais tous s'enrichissent ensemble et en continu.
« Aujourd’hui qu’on a admis en principe que l’État est institué pour distribuer la richesse à tout le monde, il est naturel qu’on lui demande compte de cet engagement. Pour le tenir, il multiplie les taxes et fait plus de misères qu’il n’en guérit. » – Frédéric Bastiat
Bien des détracteurs de la Liberté, l’ayant en réalité peu comprise, opposent à la société libre son rejet des « pauvres », ne pouvant s’y offrir le minimum vital, et le pouvoir illimité des milliardaires, à l’argent subversif et corrupteur. Or, parce qu’elle est libre d’état, la société libre laisse peu de gens sur la route, et peu de gens peuvent profiter du système et s’enrichir au-delà des harmonies naturelles.
Bastiat parlait d’harmonies économiques de la Liberté, avec raison. L’entrepreneur talentueux de la société libre s’y enrichit autant que ses clients, qui sont eux-mêmes des entrepreneurs. Les talents sur un secteur sont les clients d’un autre secteur. Les écarts de fortune sont plus en équilibre que là ou l’état crée des riches improductifs.
De plus, Libéralie, société libre, laisse peu de gens sur la route, car elle est libre de la foule des obstacles que l’état et ses lois ont mis sur la route de ceux osant entreprendre. La survie devient sûre vie.
« Les hommes vivent de la production, quand l’État vit par appro-priation. Alors que les nantis et les démunis luttent pour le partage des richesses existantes, c’est le but de l’État de croître aux dépens des deux. » – Frank Chodorov
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