Dans l'ombre des jours, l'état, ce parasite,
S'insinue, vorace, dans l'âme qui médite.
Mais un doux murmure s'élève, une sécession,
Un chemin tracé vers une nouvelle mission.
Liberté, douce muse, ton nom est un refrain,
À travers les ruelles, dans le cœur des matins.
La sécession, telle une danse mystique,
Éclaire nos pas d'une lumière onirique.
Dans le silence des rivières de la pensée,
La Liberté s'épanouit, comme une fleur apaisée.
Les barrières s'estompent, laissant place épique,
À un dialogue sincère, un échange pacifique.
L'état, ce parasitaire dans l'ombre qui se terre,
Voit naître un désir, une soif de lumière.
La sécession, comme une brise exotique,
Porte la justesse d'un monde véritable atoxique.
La toile de l'état, tirée dans les méandres,
Face à la résilience, elle se perd dans l'errance.
La pensée qui coule, comme une douce mélodie,
Vers un échange honnête, une harmonie choisie.
Liberté, écho subtil des aspirations,
Guide les pas vers de nouvelles actions.
Sous le ciel étoilé des temps uniques,
Où vivre ensemble vers un astre créatique.
Artid