La pseudo Liberté "nationale" face à l'Individu
On ne peut pas être libéral et nationaliste en même temps.
À droite, ça bouge
Une des bonnes nouvelles de ces derniers temps, c’est que de nombreuses mouvances émergent un peu partout qui portent des message en opposition frontale au gauchisme et au post-modernisme ambiant. Toutes sont loin d’être idéales et libérales, mais au moins un fond de bon sens semble-t-il se réveiller. Une des plus marquantes et puissantes à mon sens est probablement l’explosion de Jordan Peterson dans le monde anglophone, qui prend la gauche française à revers par la psychologie et la psychiatrie. Je compte d’ailleurs lui consacrer un article par ailleurs, mais ce n'est pas notre sujet à cet instant.
En France, cela bouge aussi, même si dans les rangs politiciens il est encore très difficile de faire entendre autre chose que du socialisme au nez bleu. [1] Je passerai sur la DroiteLib qui n’ose pas se dire "DroiteLibérale" ni taper sur la table, et sur Marion M. ex L. qui prépare son arrivée ex-surprise en prenant tout le monde à contre-pied.
Et puis parmi ceux qui se font ainsi entendre, on trouve le PNL, Parti national libéral tel qu’il se présente, dont je vous propose de revoir rapidement ensemble le Manifeste (« Libéralisme national ou libéralisme utopique ») qui vaut son pesant de cacahuètes (dont l’identité n'est pas 100% nationale, aïe...). Mon regard n’est (du moins se veut) que celui d’un libéral affirmé qui cherche la cohérence (enfin, l’incohérence) du discours, pas celui d’un opposant dogmatique ou de systématique mauvaise foi.
Après avoir relevé quelques points d'interrogation, je vous propose de conclure en élargissant sur les concepts de nation et de culture, qui fondent en grande partie les errements non-libéraux de cette mouvance.
La France, oui, mais les citoyens, non ?
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