La Covid aura servi de prétexte à la tyrannie…
Le virus véritable dont la pandémie dure encore et encore, c'est celui de l'étatisme...
«Mais on dit que la liberté sans frein est menaçante. Qui donc menace-t-elle ? Qui donc doit craindre le coursier indompté, si ce n’est celui qui le dompte ? Qui donc a peur devant l’avalanche, si ce n’est celui qui veut l’arrêter ?» – Anselme Bellegarrigue
Le coronavirus et sa «covid» ne pouvaient être ignorés de ce livre. Aucun besoin d’un aphorisme ; avec plus d’un an hors de la Liberté, chacun a désormais l’expérience de l’état d’urgence comme avenir. Si Covid est un acronyme, alors assurons-nous simplement qu’il soit le meilleur possible, celui résumant la réalité subie par les humains.
Contrôler. Les hommes de l’état ont toujours voulu nous contrôler. C’est leur nature, leur raison d’être. Un virus savamment exploité a servi de prétexte à une peur mondialisée. Une peur de plus, après le climat et l’ozone, a laissé l’état d’urgence duper les peu vigilants.
Opprimer. L’homme de l’état ne peut qu’opprimer, il ne peut servir. Servir supposerait savoir mieux que chacun de nous si le virus doit être évité ou affronté. Réduire les choix, refuser la responsabilité de chacun à vivre et à risquer, opprimer est devenu la norme saine.
«Éclairez le peuple, globalement, et la tyrannie et les oppressions de corps et d’esprit s’évanouiront comme des esprits à l’aube du jour.» – Thomas Jefferson
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