Il y a toujours 50 % de riches et 50 % de pauvres
Il y a 50 % de «riches» d’un côté et 50 % de «pauvres» de l’autre. Toujours.
«Les socialistes savent bien qu’ils ne peuvent réaliser l’égalité dans la richesse, mais ils espèrent réaliser au moins l’égalité dans la pauvreté.» – Gustave Le Bon
On nous rebat souvent les oreilles de trop de «riches» et surtout de trop de «pauvres». Rare qui se dit «riche». Les gens se diront sympathiques des «pauvres». Alors, qui est «riche» ? Combien sont «riches» ? Combien sont «pauvres» ? Où placer ces limites ?
On parle de «riches» et de «pauvres», mais qui porte en clair son statut sur son état civil ? Monsieur X, «riche», reçoit Madame Y, «pauvre»… On affirmera que le nombre de zéros du compte en banque reste quand même une mesure objective de la «richesse». Sauf que ceux qui avancent cet argument se veulent souvent en même temps non matérialistes, et qu’il n’y a pourtant rien de plus matérialiste que de ne mesurer la richesse qu’en euros ou dollars.
Mais des vrais «pauvres», cela existe, voyons ! Il est vrai qu’on voit bien des SDFs dans Paris. Mais sont-ils plus ou moins «pauvres» que là où la misère serait moins pénible au soleil ? À voir le nombre de SDF avec un téléphone, la question, déplaisante, fait… question.
«Les gens qui se battent pour la libre entreprise ne défendent pas les intérêts de ceux qui se trouvent aujourd’hui être riches.» – Ludwig von Mises
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