Errare candidatum est...
Vos chers candidats sont de grands comiques involontaires.
Nous sommes tout juste à la veille du premier tour de l’éjection présidentielle d’avril 2022, voyant Emmanuel Macron remis en cause par une douzaine de joyeux drilles, dont lui-même qui ne se prive pas de s’autocritiquer dans le miroir aux amulettes.
Il m’a alors semblé qu’il pouvait y avoir une utilité à sourire et à rappeler le talent comique des quatre vedettes qui, à cette heure, nous sont annoncées par les çondages comme les plus probables à survivre à l’abstention massive dont elles n’ont que faire.
À tout saigneur, toute horreur, observons ce que notre sortant a su sortir quand il était encore sinistre des finances - la pudeur m’interdit d’aller chercher des fulgurances profanées durant son mandat, ce serait trop facile et trop injuste envers les autres.
Pour la saine et pleine parité à larmes égales, je n’ai pas raté d’évoquer l’allégresse de Pécresse à tant gérer notre budget qu’elle en prit des airs de Véronique Chanson hier.
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