En Libéralie, les pauvres sont riches
Où sont les vrais pauvres ? Pas chez nous, depuis longtemps. Chez nous, on a oublié la vraie pauvreté, tant mieux.
« Les démocrates-sociaux aiment les pauvres, soi-disant. … À l’évidence, ils les aiment tellement qu’ils font ce qu’il faut pour qu’il y en ait sans cesse davantage. » – François Guillaumat
L’argument des pauvres est une des tartes à la crème servies à la chaîne pour tenter de contester la Liberté et la société libre à venir. Jamais pourtant ni pauvre ni pauvreté ne sont caractérisés, pas plus que riche ou richesse, auxquels tout le monde aspire sans l’avouer. Alors comme ça, les pauvres de ce monde étatique le seraient sans plus d’espoir, et ils seraient plus nombreux encore une fois libres ? On désire la richesse, mais aussitôt libre, on choisirait la pauvreté ?
Parler des pauvres est bienpensant, bien pratique, mais où sont les vrais pauvres ? Pas chez nous, depuis longtemps. Chez nous, ils ont oublié la vraie pauvreté, tant mieux. Ils donnent raison à l’image.
On affirmera que Liberté suppose concurrence et « compétition ». Que le pauvre est pauvre parce que moins performant, ne pouvant donc que rester pauvre dans un monde libre. Or rien n’empêche le pauvre libre de prouver sa valeur autrement. L’innovation veille, il n’est pas interdit au pauvre d’être créatif et entreprenant, là où, au contraire, la société étatique interdit et rogne les ailes aux créatifs.
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