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Désinformation ordinaire d’un Français votant à gauche
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Désinformation ordinaire d’un Français votant à gauche

Les discussions entre amis sont souvent le révélateur de l’idéologie inculquée par le système dans l’esprit du Français moyen.

mars 10, 2018
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Alors on a pris impôt

Les discussions entre amis, ou voisins, sont souvent le révélateur de l’idéologie inculquée par le système dans l’esprit du Français ordinaire, le Français moyen, raisonnablement intelligent mais endoctriné, et confronté aux réalités chaque jour et qui pourtant continue à avaler toutes les salades que les médias mal informés et peu indépendants nous assènent au quotidien.

L’autre soir, nous étions invités chez des amis, du moins des voisins, autour d’un verre et d’une galette des rois, prétexte sympa à se revoir et discuter librement. Après deux verres, les questions politico-économiques ne tardèrent pas à faire surface. La région étant largement colorée de rose voire de rouge politiquement et les bobos ne manquant pas, il est rare dans ces cas-là que mes vues assez tranchées ne donnent lieu à débat...

Cerveau lent

Réflexions du Français moyen ?

Après nos discussions, je lui ai envoyé un mail tentant d’expliquer ce qu’est réellement le libéralisme et pourquoi je suis libertarien, en faveur d’une anarchie capitaliste. Il m’a répondu d’une manière que je trouve riche d’enseignements. Voici la transcription brute de nos échanges...

Anarchie, désinformation

[Lui] Le système que tu prônes s’apparente à l’anarchie : « aucun état ni gouvernement ni service public ni frontière, aucun, ni même pour la sécurité, la police ou la justice ».

[Moi] En effet, je prône un système libertarien dit anarcho-capitaliste, mais qui n’est en aucun cas la caricature qu’on nous enseigne à l’école. C’est à mon sens et de tout ce que je connais le seul qui garantisse à la fois prospérité et justice pour tous. Car tu as pris ma phrase de manière trop primaire – disons que je ne lui ai pas donné assez de contexte. Le mot important, c’est « pas d’état ». Cela ne veut pas dire « pas de justice » ni « pas de police », et c’est bien là toute l’idée.

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